RCC 2020

Cie Vedanza / Blast (Luxembourg)

12 Novembre 2020-18H

BLAST est la dernière production chorégraphique de VEDANZA Luxembourg dirigée par Emanuela Iacopini sur une bande sonore originale de Rajivan Ayyappan.

La pièce explore les projections sonores et l’impact des explosions sur les mécanismes de réponse du corps humain.

BLAST réfléchit sur la destruction et la création, la transition et la transformation, la fin et le début, à la recherche de la lumière et de l’obscurité des explosions.

La performance live, le butoh, la Contact Improvisation, Axis Syllabus, Kalaripayattu, la méditation et danse contemporaine, enrichissent le processus créatif des danseurs.

Direction chorégraphique : Emanuela Iacopini

Conception sonore : Rajivan Ayyappan

Créé par : Frey Faust, Yuko Kominami, Saju Hari, Emanuela Iacopini

Extrait interprété par : Saju Hari, Emanuela Iacopini

Conception lumière / Directeur technique : Nico Tremblay

Conception des costumes : Anne-Marie Herckes

Regard externe : Stephane Boko

Responsable de production : Lucile Risch

Producteur : VEDANZA

Coproducteurs : Op der Schmelz, CAPE – Centre des Arts Pluriels Ettelbruck avec le

soutien financier du Ministère de la Culture du Grand-Duché de Luxembourg

Sponsors : Sacem, Ambassade du Luxembourg en Turquie, FOCUNA, Fondation Indépendance.

Partenaires : CERModern Ankara, Corpo de Hoje, DeVIR / CAPa Centro de Artes Performativas do Algarve, Dance from Luxembourg (TROIS C-L), Les Rencontres Chorégraphiques de Casablanca, Dance Science Net, Axis Syllabus International Research Network.

Cie HARAKA / QA-OUM (Maroc)

Jeudi 12 Novembre 2020 – 19H

Work in progress

QA-OUM est une création chorégraphique qui remet en cause cette société patriarcale où les attitudes des hommes empêchent la femme de jouir de ses droits ainsi que d’exister librement d’une part, et d’autre part, les rituels mis en place par la gente féminine afin d’adoucir

l’interaction hommes-femmes.

QA-OUM vise à explorer les points de convergence et de compromis entre les hommes et

les femmes à travers les différentes circonstances qui les unissent, mais aussi les lignes

rouges qui conduisent à une communication sans issue.

Chorégraphie : Othman Sellami

Interprétation : Othman Sallami / Mourad Koula / Karim Ennoury / Mohammed Kharbouchi

Soutien : Ministère de la Culture de la Jeunesse

et du Sport, Fondation Hiba, Les Rencontres Chorégraphiques de Casablanca.

Asso. Atelier 92 / Burqa et Basma (Roumanie)

Jeudi 12 Novembre 2020 – 19H30

Briser le mur du silence à travers la danse et le théâtre, en interaction avec l’image réelle et irréelle…traiter des sujets sensibles, telle que la position de la femme dans une société de multiples paradoxes. « Burqa » représente le côté sombre de la femme dans certaines sociétés et « Basma » représente la couleur des fleurs de printemps dans des pays de femmes ouvrières, un double visage entre obscurité et lumière, entre tristesse et joie, une danse qui fait penser, qui nous amène ailleurs et quelque part….

L’oeuvre proposée est le fruit d’un travail commun de professionnels de différents domaines qui ont souhaité partager une histoire, un sujet, une esthétique… Ce projet de création réunit deux opérateurs d’Afrique du Nord (Tunisie et Maroc) en danse contemporaine et un opérateur de l’Europe orientale (Roumanie) reconnus et ayant une expertise dans le domaine des arts scéniques, et un artiste indépendant belge, spécialiste en animation et construction d’images numériques. Le projet prévoit des résidences et des échanges entre les équipes du projet dans les trois pays, où le projet sera réalisé entre 2019 et 2020. Les arts numériques font partie des priorités culturelles d’avenir de ce projet, le spectacle “Burqa et Basma” permet de décloisonner la danse avec d’autres pratiques artistiques et techniques en art numérique dans un processus créatif et d’expérimentation artistique.

Une idée de Radu Dinulescu

Mise en Scène : Raul Hotcaș (Roumanie) et Wajdi Gagui (Tunisie)

Chorégraphie : Raul Hotcaș et Ahlam El Morsli (Maroc)

Image 3D stéréoscopique : Armand Richelet-kleinberg (Belgique)

Scénographie et costumes : Mihai Vălu

Direction technique et projection vidéo : Teo Molnar

Interprétation : Carmen Bulancea, Denisa Blag, Camelia Blidar Strat, Raul Hotcaș, Iulian Bulancea

Production : Association Atelier 92

Coproduction : Teatrul Municipal Baia Mare et Col’jam

Cofinancement : L’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF)

Partenaires : Festival Atelier, Les Rencontres Chorégraphiques de Casablanca.

Cie VAIKONUR / ARARAT (Espagne)

Vendredi 13 Novembre 2020 – 18H

ARARAT est un court duo inspiré de la culture arménienne à travers le prisme de Komitas

Vardapet, un éminent musicien qui, après avoir été témoin des événements du génocide arménien, s’est tenu dans un sanatorium parisien jusqu’à sa mort. Du voyage introspectif

inhérent à l’histoire de Komitas et aux caractéristiques fondamentales de la culture arménienne – son archaïsme, ses géométries originales, ses danses et sa musique – émerge

une chorégraphie abstraite, essentielle et minimaliste basée sur le détail et la précision des mains.

Chorégraphie : Ester Guntín

Interprètes : Elisabeth Ollé, Héctor Puidomènech

Conception lumière : Ester Guntín

Musique : composition personnelle à partir de différents auteurs-compositeurs

Cie Col’jam / Survie (Maroc– Tunisie)

Vendredi 13 Novembre 2020 – 19H

Work in progress

Survivre dans un monde où l’eau vitale à l’humanité, la nature devient de l’or… cet or bleu si précieux et si fragile dans un monde dépassé par le réchauffement climatique et la pollution de notre monde. Survie de l’humanité face à un monde changeant, face à une raréfaction des ressources brutes, survie… Survivre.

Une conscience collective est nécessaire… Par cette oeuvre chorégraphique, le public spectateur sera initié à l’état du monde à travers notre langage chorégraphique et se transformera en spectateur-acteur et citoyen du monde.

Cette pièce chorégraphique est pensée pour des théâtres, espaces publics, elle s’adresse également au grand public et jeune public, dans une envie de transmettre un langage

chorégraphique riche de valeurs et de messages vivants

Chorégraphie : Wajdi Gagui

Interprétation : Ahlam El Morsli, Wajdi Gagui, Soufiane Faouzi Amrani, Ester Lozano torne.

Régisseur plateau : Samir Chabbi

Technicien lumière : Saber Gagui

Gestion et organisation : Aurélia Timsit

Relation presse : Ghita Lamrani

Soutien : Ministère de la Culture de la Jeunesse et du Sport, Institut français de Casablanca, L’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), USEP Chénier, Les Rencontres Chorégraphiques de Casablanca.

Cie Vedanza / Blast (Luxembourg)

Vendredi 13 Novembre 2020 – 19H30

Cie Evie Demetriou / On the brick (Chypre)

Une collaboration entre Evie Demetriou et Antis Iakovou filmée lors du confinement en raison

de la Covid 19, en avril 2020.

Pour la performance vidéo, nous avons utilisé le corps comme matière primaire, en relation

avec l’image pour explorer les sentiments liés à la liberté intérieure et extérieure. Que signifie

être libre ? A quel prix l’humanité utilise-t-elle ? Comment repenser la « Liberté » après l’épidémie ?

Performance et montage : Evie Demetriou

Tournage : Antis Iakovou

Production : Cristina Pérez – Peso

Cie Hna-Ya / “Sorakhe” (Maroc)

Samedi 14 Novembre 2020 – 17H

Work in progress

“Sorakhe” est inspiré par une jeunesse désabusée, il exprime un hurlement presque

impossible à décrire et tente ainsi de relier ce problème au corps.

Comment ne pas altérer l’éveil de ceux qui sont confrontés à une répression omniprésente ?

Cette question porte un appel essentiel, dépassant les singularités de ces protestations et émanations individuelles.

Chorégraphie : Said El Haddaji

Interprétation : Sanga Ouattara/ Said El Haddaji / Hamid El Idrissi / Manon De Matauco

Soutien : 

Goethe-Institut dans le cadre du projet « Un-Controlled Gestures, Institut français de Kenitra/ Rabat, Les Rencontres Chorégraphiques de Casablanca.

Cie Wajdins / Error 404 (Maroc)

Samedi 14 Novembre 2020 – 18H

Work in progress

« Error 404″… Sur une planète en forme ronde, en forme de cercle, de continuité et d’union

profonde, nous ferons semblant que l’union et la continuité de ce cercle ne veuillent rien dire.

Chacun va essayer, seul de son coté, de partir à la conquête d’un destin qu’il ne peut prédire.

Mais l’union de tout l’univers prime, ainsi que l’énergie de l’humanité qui nous anime. Alors nos gestes, nos pas, et nos destins ensemble riment.

Quand tu me portes si je n’ai plus de forces, quand je te supporte pour que tu avances.

Et même si nous faisons preuve d’ignorance, nous existons toujours dans le même cadre et nous nous influençons. Tels des miroirs reflétant les nuances de tout l’univers, en paix, bonheur, guerre, ou souffrance. Car on vit sur une planète qui tourne dans un même sens.

Alors faire semblant d’indépendance sur une planète qui a un unique destin, sera un essai

en vain… sera notre « Error 404 ».

Chorégraphie : Mourad Koula

Interprétation : Marie Bruel / Mourad Koula

Soutien : Les Rencontres Chorégraphiques de Casablanca.

Cie Les pieds nus / BOX (Maroc)

Dimanche 15 Novembre 2020 – 16H

Work in progress

Parce que la situation sanitaire nous l’a imposée, parce que notre société marocaine s’efforce de nous l’inculquer et parce qu’enfin la gente masculine patriarcale nous y a conditionné, le

cloisonnement est devenu un fonctionnement banalisé, phénomène amplifié par le confinement.

De quel droit décide-t-on d’enfermer autrui ?

Et quelle issue trouver pour s’échapper, goûter à la liberté et revendiquer le droit de faire ses

propres choix ?

Par ces questionnements, Salima Moumni tentera d’exprimer à travers le corps la combinaison entre tout recueillement intérieur qui peut être précieux et réconfortant s’il est conscientisé et une bataille constante pour revendiquer ses droits, « trouver sa place » et prétendre à la liberté.

Le solo de danse contemporaine « BOX » est un work in progress principalement engagé dans une lutte féministe constante d’autant plus importante qu’elle est mise à mal par la situation mondiale actuelle.

Chorégraphe – interprète : Salima Moumni

Soutien : Les Rencontres Chorégraphiques de Casablanca

Cie Matxalen Bilbao/ FUGAS (Espagne)

Dimanche 15 Novembre 2020 – 17H

FUGAS interroge l’idée du groupe déjà abordée dans la précédente pièce pour les espaces urbains GEAR dans laquelle des images d’engrenages, de migrations, de sculptures et de compositions sont sources de création.

D’un autre point de vue, FUGAS formule de nouvelles formes de relation, articule différents types de dépendance, démontre différentes situations sur le concept « Groupe ».

Sur un ton ludique, ils évoluent avec la combinaison de la musique de Chopin et Bach, créant ainsi un chaos lucide.

Mise en scène et chorégraphie : Matxalen Bilbao

Interprétation : Nekane Mendizabal, Miren Lizeaga, Aiala Echegaray, Natalia García, Nerea Martinez.

Musique : Chopin et Bach

Costume et Designer : Java Vintage

Résidences : La FuNdiclOn, Utopian,

Production : Infinite Scene

Subvention par le Département de la Culture Gouvernement Basque Gestion et la communication

Production : Cristina Pérez – Peso