Nos Créations

" MARAYA ARROUH"

DANSE & ARTS NUMÉRIQUES
Projet de création de la Cie Col’jam (Casablanca) et Cie K. Danse (Toulouse)
Chorégraphes : Ahlam El Morsli, Wajdi Gagui & Jean-Marc Matos
Danseurs : Ahlam El Morsli & Wajdi Gagui
Artiste numérique : Arnaud Courcelle
Production et diffusion : Majid Seddati
 » Maraya Arrouh » (miroirs de l’âme), une hybridation entre le corps et le numérique, la danse et l’image interactive, au service d’une spiritualité partagée, un visage de réponse, un remède imaginé face aux maux du monde ».
 
Co-production et aide à la création :
INSTITUT FRANÇAIS à Paris
Centre LaTermitière : Centre de Développement Chorégraphique La Termitière – Ouagadougou
Casa Events : Casablanca Events et Animation
Epson

Survie

Survivre dans un monde où l’eau vitale à l’humanité, la nature devient de l’or… cet or bleu si précieux et si fragile dans un monde dépassé par le réchauffement climatique et la pollution de notre monde. Survie de l’humanité face à un monde changeant, face à une raréfaction des ressources brutes, survie… Survivre. Une conscience collective est nécessaire… Par cette œuvre chorégraphique, le public-spectateur sera initié à l’état du monde à travers notre langage chorégraphique et se transformera en spectateur-acteur et citoyen du monde. Cette pièce chorégraphique est pensée pour des théâtres, espaces publics, elle s’adresse également au grand public et jeune public, dans une envie de transmettre un langage chorégraphique riche de valeurs et de messages vivants. 

Chorégraphie : Wajdi Gagui 

Interprétation : Ahlam El Morsli, Wajdi Gagui, Soufiane Faouzi Amrani, Ester Lozano torne. 

Régisseur plateau : Samir Chabbi 

Technicien lumière : Saber Gagui 

Gestion et organisation : Aurélia Timsit 

Relation presse : Ghita Lamrani 

Soutien : Ministère de la Culture de la Jeunesse et du Sport, Institut français de Casablanca, L’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), USEP Chénier, Les Rencontres Chorégraphiques de Casablanca.

Kayen

“Kayen”, est la recherche de soi à travers l’autre, où l’existence individuelle dans le monde devient une entité singulière.De ces corps dansants, émanent différentes situations. L’individualité gestuelle au sein d’un mouvement commun se trace, mais devient le langage d’une entité, d’une force, d’un groupe

 Chorégraphie :  Wajdi Gagui

Regard exétrieur: Ahlam El Morsli

Interpretation:

Ester Lozano Torné,, Soufiane Naym, Chakib Yamlahi, Faouzi Mrani,  Wajdi Gagui

Régie : Saber Gagui

Costume : Ghislaine El Morsli

Production : Col’jam

Coproduction : Fondation TAT (L’Uzine)

Accueil en studio : F.O.L / Les Ateliers Libres

Lieu : Institut Francais de Casablanca

 

Femme (solo) FEMMES (Collective)

Je me réveille une nuit sur la voix d’une femme qui me parle dans l’oreille, me demandant de vivre en moi une danse palpitante, on s’est croisées sur un chemin d’eau froide, d’images d’ailleurs et de nul part… cette voix traverse ma respiration … me parle en silence…

Je fais le rêve d’une danse à part… d’une femme obscure et à la fois troublante…

Chorégraphie : Ahlam El Morsli,

Interprétation :

Ester lozano torné, Yasmina Chouaib, Ahlam EL Morsli

Regard Extérieur: Wajdi gagui

Lumière: Saber Gagui

L'KAADA

La danse l’kaâda est un héritage culturel, elle fait partie des caractéristiques du spectacle populaire au Maroc, en particulier après la fin de la période coloniale,

Les expériences les plus importantes à cet égard, ont été initiées par le grand artiste  « Tayeb Seddiqi, » qui a approfondi le concept  « L’halka » L’expérience et l’ambiance d’ancrage de Jemaa El Fna ,  dans l’ancienne ville de Marrakech, pour la plupart des créations scéniques en extérieur; 

Selon la même perspective, nous cherchons à travers cette création chorégraphique d’employer une des pratiques traditionnelles marocaines qui ont caractérisé les fêtes populaires, afin de conserver dans cette pratique et la faire connaître, de contribuer à son rôle dans la promotion du goût collective. Et pour contribuer à valoriser ces sources et les références liées à notre culture.

 Direction artistique et chorégraphie: Wajdi GAGUI (Tunisie)

Conseil artistique : Ahlam EL MORSLI

Interprétation : Ester Lozano Torné,, Ahlam El Morsli, Soufiane Naym, Othmane Wardy, Wajdi Gagui, Mouad Lasmak, Chakib Yamlahi

Musique et percussion live: Abderrazak Askalan

ROUH

 

Créer une dynamique locale grâce aux artistes et opérateurs culturels locaux.

Rendre Le duo « Rouh » travaille la profondeur avant l’esthétique… Il nous plonge dans une finesse gestuelle et une sensibilité d’interprétation, où l’âme se lie à l’être, s’éclaire sur sa trajectoire vers l’essence de la vie, divine, immortelle et en souffrance dans le corps…

L’énergie libératrice de  Rouh (l’âme) », noue et dénoue le réel et le non réel dans un espace spirituel.

 « L’homme est libre entre tourner le miroir vers la lumière de l’âme, ou se tourner vers le côté sombre de la nature physique du bétail. » Ibn Arrabi

 

Chorégraphie et danse: Ahlam El Morsli et Wajdi Gagui

SKETT

 

SKETT est une réflexion citoyenne sur l’art, une réflexion sur l’Autre, sur l’artiste et sur le corps dans son environnement. SKETT est un reflet des différentes tendances socio-politiques, avant et après le 14 janvier 2011 (date du soulèvement populaire tunisien).

La roue de la vie et de l’Histoire, son cycle à travers l’image répétitive, la mémoire à travers les jeux de l’enfance, le fil du temps à travers les images ludiques, les rouages du conditionnement et de l’esclavage : un cercle vicieux dans le parcours du quotidien.

L’approche citoyenne de l’art, commence par une analyse du vécu social. La Danse peut la restituer sur scène. Mais elle peut aller au-delà, pressentir l’avenir : d’où son pouvoir révolutionnaire. Comme tout Art.

SKETT est notre position du moment : le discours ne résout rien

SKETT, c’est le Silence(en arabe) : actuellement, il est prodigieusement parlant

 Conception et Chorégraphie : Wajdi Gagui

Interprétation: Ester Lozano Torné, Ahlam El Morsli, Wajdi Ggaui , Chakib Yamlahi, Soufiane Naym, Yassine Ouni

PERSONA NON GRATTA

«Ma tête est ici et mes mains sont là-bas, et entre moi et moi, les peuples passent », têtes remplies de préoccupations individuelles, mais aussi collectives, de nombreux questionnements, dont la réponse est seule et unique.

«Mon corps est une nation, mes mains sont un état, ma bouche est une révolution, et les doigts de ma paumes sont des prairies, mes veines sont des constructions, mon front est des usines, mon nez est des ponts, mes jambes sont des avenues, mes oreilles sont des écoles, et mes yeux sont des maisons »

Et ma danse ….est un refus.

 Conception et chorégraphie: Wajdi Gagui

Danseurs: Emilie Borgo, Ester Lozano, Ahlam El Morsli,, Wajdi Gagui, Yassine Ouni, Soufiane Naym